Avoir une belle silhouette, c’est le rêve de beaucoup de gens, surtout les femmes, et il existe différentes manières d’y parvenir. Certaines sont efficaces, d’autres renferment des pièges et peuvent causer des problèmes plus graves. Le fait d’être boulimique, par exemple, n’est pas une solution de perte de poids.
Maigrir en étant boulimique ?
Avoir une mauvaise image de soi, une mauvaise image du corps est la principale raison qui pousse certaines personnes dans cette décision catastrophique. Alors oui, se faire vomir juste après s’être goinfré, pratiquer des exercices intenses au-delà de la limite ou stopper de manger pendant une période déterminée peut limiter la prise de poids.
Mais cela représente des risques sur la santé. Aboutir à un cas d’anorexie n’est pas rare dans ces cas-là.
De toutes les manières, ce ne sont pas des solutions de perte de poids durables. À un moment, vous allez devoir vous faire soigner et reprendre une alimentation normale, saine et équilibrée.
De plus, à force d’être malmené de la sorte, le corps adoptera un mécanisme d’autodéfense qui consiste à stocker davantage pour prévenir les éventuels manques. Dans ce cas-là, les crises de boulimie font même grossir.
Mincir sans être boulimique
La boulimie peut avoir des conséquences négatives sur la ligne et sur la santé. Pour la prévenir, il faut d’abord combattre la compulsion alimentaire. Consommez des aliments hypocaloriques aux propriétés coupe-faim au petit-déjeuner. En cas de fringales, mangez des fruits ou des noix.
Si vous avez quelques kilos superflus, sachez que ce n’est pas une fatalité et que la meilleure façon de les éliminer repose sur de bonnes habitudes alimentaires et des activités physiques raisonnables.
La boulimie, c’est quoi ?
C’est lorsqu’une personne rencontre une compulsion alimentaire, suivie d’une crainte de prise de poids. Elle commence par manger tout et n’importe quoi puis fait tout pour que cela ne lui fasse pas grossir. La boulimie vomitive est la plus courante, mais parfois, l’excès d’exercices physiques et le jeûne sont également utilisés.
Ce trouble alimentaire est généralement le symptôme d’une instabilité d’ordre psychologique et ce n’est pas pour rien que la médecine le considère comme une maladie nutritionnelle grave.